Inde 3 - Les bidochons en Inde

Publié le par Alix l'Palmier

Inde 3 - Les bidochons en Inde

Comment décrire en si peut de mots et de mois, une culture si différente, si étrange à la nôtre, à des personnes qui ne l'ont jamais visité, et où celle et ceux qui y sont aller pourront reconnaître ce pays ?  

Pour ce faire j'ai choisis de faire un article totalement different de ce dont j'ai l'habitude, sous forme de nouvelle, ou je raconterais le cour, mais intense voyage en Inde d'un brave et joyeux couple de bidochon. Ils seront deux pour former les dialogues de mes réflexions personnel, de même que les 3/4 des dialogues avec autrui. Si la chronologie des faits est du au fait du respect de la trame de l'histoire, les faits eux en revanche sont bien réel. 

J'espère que les inconnues de l'Inde pourront voyager, et les connaisseurs se retrouver dans ce récit ! (que j'essaie, vraiment, de faire sans faute dorthogrffe, si si !)     

 

LE DÉPART

- Chérie viens voir, j'ai imprimer les billets !

- Ho super, enfin ! Heu, Alex.. On était pas sensé arriver à Bombay ?

- Ba si pourquoi ?

- Tu les as achetés pour New Delhi.. Putain desfois t'es vraiment désespérant. Ça commence bien ! Et t'es vraiment sur que ça sera super et sans danger ce voyage hein ? J'ai jamais voyager moi !

- Mais oui tkt, mon super pote Alix ma dit que c'était safe et enrichissant ! Alex lui, avait beaucoup moins d'aprehension  au sujet de ce voyage. Bourlingué il connaissait bien, il était déjà parti 3 semaine en camping dans les landes. Et un jours avec le travail, 3 jours en Slovénie,  vous vous rendez compte,  presque le tiers monde.

- Ton pote là, c'est pas lui qui c'est retrouvé bloqué 3h, à poil, en pleine nuit par la douane en Norvège, qui c'est battu avec des sdf en Slovaquie pour retrouver son sac, où c'est fait racketter par des russes en Turquie ??  

-Heu si, c'est bien lui.. Mais il lui arrive pas toujours des embrouilles comme ça hein ! Enfin j'crois.

- Mouais,  Che pas si c'est le meilleur des jugements qu'on peut avoir. Enfin bon, allons-y !

 

Quelque jours plus tard, ils arrivent enfin à destination, New delhi. En poussant les portes de l'aéroport,  ils s'attendaient à de la chaleur, à de la pauvreté, ils s'étaient préparés à tous ça. Mais la vague de chaleur qui les frappa fut tellement plus fort que tout ce qu'ils pouvaient s'imaginer, elle leur colla les cheveux sur leurs visages, asséchant leur bouche en quelques secondes. Ils sentirent les gouttes de sueur commençaient à se former sur les tempes, et leurs vêtements devenirent poisseux sur leurs corps meurtri par ce choc thermique. Le bruit aussi, après la claque de la chaleur vint la frappe du bruit. Les klaxons assourdissant, le bruit des crissement de peux, des hurlements des tuktuk, des vachissement des vaches, et toute les interpellations diverse et varié des indiens. Ils durent jouer des coudes pour espérer sortir de l'entrée de l'aéroport, tellement la masse inerte était imposante.

Ils sortirent, mains dans la mains, yeux grand ouvert, bouche mi-ouverte, estomaqué qu'ils étaient par ce qu'ils pouvaient voir. Sans le savoir, ils étaient devenus des cibles, pour la masse de charognards de conducteur de taxi, deux petit blanc de touriste tout frais débarqué, tout naïfs. Ils se précipitèrent sur eux en courant et en hurlant, et arrivé, chacun voulu prendre un bout du sac à dos, pour tirer, pousser, arracher, vers son taxi.

- Sire sire, bon hôtel bon hôtel,  viens viens viens !

- Hôtel pas cher, taxi bon vous venez, Holà bonjours hello !

- Viens mon ami viens mon ami, je connais meilleur hôtel de la ville pour vous bonne qualité !

- Frère ami viens avec moi, taxi gratuit pour ton hotel,viens !

Ils criez tous en même temps, sans leurs laissez le temps de parlez, de réfléchir, de survire dans ce combat de catch grandeur nature. Sans comprendre exactement ni le pourquoi ni le comment, ils se retrouvèrent assis dans un rickwasw, leurs backpack derrière. Le t-shirt de Mélanie était déchiré sur la manche, on lui avait volé ses lunettes de soleil, et Alex avait perdu une tong dans la bataille.. Pendant qu'ils donnaient l'adresse de leur hôtel, le conducteurs leur répondis qu'ils venaient de fermé malheureusement, mais qu'il en connaissait un très bien, garantie sur le Lonely planet !

-Non non non, on ne veux rien de tout ça, on veux notre hôtel un point c'est tout. Pas de ristourne,  pas de raccourcis, rien !

- D'accord d'accord, pas problèmes pas problèmes. Mais la route est fermé, on ne peux plus y aller.  Mais je connais un très bon hôtel pour vous, garantie sur le Lonely !

- Non je t'es dit putain, notre hôtel, pas compliqué non ?

- D'accord d'accord,  je vais les appeler. Après quelques minutes de conversation en indi, il se retourna, grand sourire, et dit, à dommage, il est complet, je viens d'avoir notre manager. Mais je connais un très bon hôtel pour vous, garantie sur le Lonely !

- Mais putain tu vas bouger à notre hôtel bordel de merde, hurla Alex, le visage cramoisi

- Oui oui oui sire oui sire, désolé sire, votre hôtel sire !

Quelques minutes plus tard, ils arrivent devant une rue miteuse et dégueulasse, devant un hôtel qui n'en n'avait que le nom. Sans comprendre le comment et le pourquoi, encore une fois, ils étaient là, leur chauffeur étaient déjà descendu avec leur deux sac sac à dos, un grand sourire sur le visage

- Hôtel de mon cousin, très très bon hôtel, très clean, beaucoup autres voyageurs ici.

-Mélanie.. explique lui que si il ne nous amène pas de suite à notre hôtel, je lui rentre son tuktuk dans le cul, et lui fait bouffer ses dents...

Après avoir expliqué en des thermes plus diplomate leur choix, ils arrivèrent enfin à leur hôtel,  backpacker gesthouse, qu'on leur avaient conseillé. Avant qu'ils aient pu entré, leur chauffeur se précipita à l'intérieur en les repoussant avec force derrière lui, et annonça en criant au réceptioniste que c'étaient ses clients. Il ressut une boîte d'allumette en pleine tête,  et sans doute des insultes pour tous remerciement.

-Excusez moi, mais ces conducteurs veulent à tout prix une commission à chaque fois qu'ils amènent quelqu'un, souvent au détriment et au comfort du client.. Vous avez réservez ?

Une fois dans leur chambre, la "plus classe", ils s'affalerent sur leur matelas dur comme une planche de bois, et admirent leur palace. Des murs defrechit, aucun mobilier, des coussins gros comme leur sac et durs comme un cailloux, et quelques petits passagers clandestins dans la salle de bains. 

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Inde 3 - Les bidochons en Inde Inde 3 - Les bidochons en Inde
Inde 3 - Les bidochons en Inde
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Après avoir pris du repos bien mérité après leur âpres expédition digne de grand voyageurs, ils allèrent à la rencontre des autres backpackers dans le chill out, aussi frais q'un four en pleine cuisson. Et dans le four,  quelques poulet en train de cuire, totalement amorphe, les yeux dans le vague ou fixé sur leur smartphone et facebook.  "C'est plus gaie à un enterrement" dit Mel. Quittant cette charmante ambiance de fête foraine, ils décidèrent d'aller visiter l'Inde, la vraie, celle des rues, celle que l'on ne pouvait imaginer que en la vivant. En sortant de leur hôtel,  ils se firent de suite accoster par deux fillette, pied nu, vêtu de haillons s, de à peine 5ans. Elles ne dirent rien, mais tendirent leur petite paume toute noir de crasse, et entre leur cheveux en bataille et leur visage sale, on devinait deux grand yeux immobile, sans expressions. Suivant les conseils qu'on leur avait donnés, ils ne donnèrent rien, et continuerent leur chemin. Les petites filles les suivirent pendant plusieurs centaines de mètres,  tout en tirant sur leurs manches et en émettant de petit bruit de gorges. Au bouts de 10mn elles disparurent. Même de savoir que chaque centimes donné à un enfant ici irait dans la poches d'un "mac", le savoir ne rendait pas les choses plus facile. Ils étaient accosté toute les 2mn, pour tout et n'importe quoi

-Sire sire, vient voir mon Shop, bonne qualité.

-Welcome mon ami, vient rentre dedans c'est gratuit pour toi.

-Bienvenue à toi, regarde très belle robe pour ta femme.

- Bonjour belle dame, cours de cuisine pour garder ton mari toute ta vie !

- Selfie avec vous mon ami !

- Moni Moni touriste !

Ils répondaient à chacun, essayer d'être aimable, souriant, dans cette foule constante, ou tous le monde les toucher, les pousser, les apostropher dans tous les sens. Soudain,  Alex senti quelqu'un prendre son épaule, et de force le tourner dans l'autre direction. Il n'eu pas le temps de comprendre qu'un Indien l'entoura de son bras, sourit de toute ses dents, et de son autres main pris un selfie de tous les deux, puis reparti aussi vite, sans une parole, sans un regard, sans rien. Pendant qu'ils déambulaient, ils croisaient quantité de mendiant, l'un sans bras, l'autre sans jambes, celui sans les deux bras, ou l'autre se déplaçant sur une planche en bois, les deux jambes sectionnés, bras coupé au niveau du coude, une seule main de valide. Ils virent plus de misère et d'horreur en une heure que en toute une vie. N'en pouvant plus, ils se réfugièrent dans une petite échoppe de rue, ou apparemment la nourriture était la meilleur. A peine assis, une vingtaine de paires yeux se tournèrent vers yeux, en silence. Deux indiens s'approchèrent deux et les fixèrent, sans bouger.

-Heu.. c'est normal ça tu crois ? Dit Alex

-Je sais pas, repondit Mel, mais en tout cas c'est super dérangeant. Ils sont plus d'une dizaine à nous regarder comme ça sans bouger, ça fait peur !    

- Heu, excusez nous messieurs, on peut vous aidez ?

Pour toute réponse, tous les indiens secouèrent et hochèrent la tête en même temps, avec un grand sourire. Le mouvement était un étrange balancier de tête de gauche à droite entre les épaules, inconnue des deux occidentale.

-C'est sensé être un oui ou non ou quoi ce truc exactement ?

- Je sais pas, mais en tout cas ils continuent à nous fixer. C'est con ça.

Entre temps, leur repas arriva, un tali, repas composé de dhal, naan lentilles et pain plat avec des légumes et du riz. Toujours crevant de chaud, ils auraient juste aimés une salades fraîche, mais la confiance qu'ils avaie't dans les aliments étaient limité. Alex pris une première bouché, avec autant d'attention que possible. Dans un pays aussi fou que celui ci ou tout marchait à l'envers, à quel goûts pouvait bien avoir la nourriture ici ? Quelque seconde plus tard, il  sourit de toute ses dents. "Pas épicé et super bon putain, jarrive pas y croire". Il prit une autre bouché,  et les épices eurent le temps d'arriver. Il devint rosé, puis rouge, puis cramoisi, et des gouttes de sueur coulerent le long des ses joues.  &Sa pique un peut en faite j'crois& dit - il, la bouche en feu.  

Au moment de payer, le serveur leur dit sans sourciller

- 1000 roupies please

- C'est cher ça ! Sa fait combien en euros ?

- Pas cher messieurs, deux tali, deux chaï,  trois minéral water, c'est les prix ici, restaurants réputé,  beaucoup indiens venir ici regarde !

- Bon bon bon, ok t'inquiète, tiens 1000 roupies, et 20 de pourboire

En sortant dans la rue, le premier indiens qu'ils croisèrent leur demanda de faire un selfie ensemble.

Arrivant à leur hôtel, ils s'assirent avec les autres en pleine discutions passionné !

- Mais si je te dis, un vrai voyageurs en a besoin, sinon il est cuit.

- Salut les gars, on viens d'arriver, vous discuter de quoi ? Demanda Alex

- Salut à vous les gars, bienvenue en Inde ! Ce mec à craquer, il vient de me demander quel applications pour smartphone était indispensable pour voyager..    

- Bien sûr qu'on en en a besoin, repondit l'intéressé,sinon comment tu fait pour retrouver ton chemin hein ? Regarde avec mapsme tu peut savoir tous le temps où t'es même sans connexions et trouver ton chemin, tu te perd plus !

- Ba perso moi je demande mon chemin quand je suis perdu. Même en Inde sa marche, tu prend juste plus de temps. Et puis tu te marre bien desfois !

- Ouais mais avec ça t'es autonome mec ! Et avec la ta plus besoin de marchander, regarde, tu tape ton trajet en tuktuk et ta le prix, plus besoin de marchander avec le conducteur, tu connais le prix exacte !

-Super, donc t'arrives, tu montre le prix afficher sur ton écran, et sans amabilité tu dis que c'est le prix de la course, tout ça pour économiser 30 roupies, c'est mêmes pas 40 centimes..   Horrible.

- Heu à propos les gars,le prix pour deux tali et deux chaï, c'est combien ?

- Che pas, 200 cent roupies, pourquoi ta payer combien toi ?

- Ho, heu, presque pareil, ça va je me suis pas fait avoir, dit Alex en regardant ailleurs..

- Tu vois, avec l'app ils auraient pas eu ce problème rattaqua l'autre !

- Arrêtes, tous le monde se fait arnaquer en débarquant ici, c'est le jeu, et sa s'appelle le voyage mec ! Tu te fait avoir une fois, tu demandes aux autres voyageurs, et puis c'est bon. Connexions, partage, valeurs, tu connais ? Mais vas-y reste bloqué sur ton écran man, perso je préfère galèrer avec les indiens que tout réussir avec mon portable. Salut jme casse !

Alex et Mel eux avaient pas trop d'idée sur la questions, de toute façon avec ou sans portable ils galèrer bien assez comme ça !

Inde 3 - Les bidochons en Inde
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Le Cashemire, somptueuse vallée verdoyante et montagneuse
Le Cashemire, somptueuse vallée verdoyante et montagneuse  Le Cashemire, somptueuse vallée verdoyante et montagneuse
Le Cashemire, somptueuse vallée verdoyante et montagneuse  Le Cashemire, somptueuse vallée verdoyante et montagneuse

Le Cashemire, somptueuse vallée verdoyante et montagneuse

Le lendemain ils prirent leur bus de nuit direction Shrinagard, cité du cachemire, où sans attendre ils achetèrent une moto, une Royal enfield pour partir à l'assaut des montagnes et des contrés perdues. Arrivé à l'agence, ils purent voir l'efficacité indienne dans toute sa splendeur, une personne assis derrière le bureau était au téléphone, sans doute avec un pote à lui vu la façon de se marrer, et le reste des employés affalé ou debout à peut près partout, armoire, chaise, moto, par terre. Quand il demandèrent si ils pouvaient acheter une moto, ils les regardent avec des yeux vides, et balancèrent la tête. En assistant un peut, sorti le mots &peut pas&. Bon très bien, on va attendre que l'autres finisse hein, ce qui pris 15mn. Mais à quoi pouvaient servir les autres bon sang ? Quand le mec eu finit il demanda "c'est pour quoi ? Haaa, achetez une moto, ba fallait demandez au autres ! Hijabe, occupe toi d'eux stp ! " Et le mec qui leur avait dit "j'peux pas" s'occupa d'eux.. India.   

      Le Cachemire, vallée verdeoyante et montagneuse était ultra militarisé, du au faite de la frontière avec le Pakistan, et de l'envie d'indépendance des Cachemiris. Ils croisèrent leur premier check point quelques kilomètres plus loin. Après q'un premier soldat leur demanda leur passeport, et de signer sous des papiers, tous les soldats du poste vinrent voire ces deux blancs, et ils ne purent repartirent qu'après 10mn et quelques selfie. Tous les 40kms il y avait un check point, si bien qu'ils décidèrent de ne plus s'arrêter, marre des militaires, cette guerre ne les regardez pas. Ils slalomèrent entre des montagnes plus hautes que le mont blanc, rempli de pâturages et de moutons, où des troupeaux de chevaux étaient en plus ou moins liberté. Devant eux, ils aperçurent un énième checkpoint, le soldat avachit sur sa chaise. Arrivant à proximité, le bruit infernale de leur moto le réveilla, et il s'agita sur le côté avec sa mitraillette, mais trop tard, ils étaient déjà passé en trombe. Ils ne s'en soucièrent plus jusqu'à ce que quelques kilomètres plus loin la route fut bloqué par deux camions militaires,  et eux bien devant.  Bizarrement la peur commença à monter chez Alex, qui se se dit que ça ne pouvait être que pour eux. Il arrêta sa moto, et se retrouva nez à nez avec une paire de rangers et un fusil d'assaut pointé sur lui, le visage du militaire caché par une cagoule. Pour sûr, ce n'était plus les simples militaires gardien de voitures.

- Heu.. vous voulez voir mon passeport peut être.. ?

Deux jours plus tard, ils arrivèrent au passage &pas cool& qu'on leur avaient prédit, 200 km de constructions de route, où les centaines, voir les miliers de camions soulevaient un nuage de poussière ininterrompue, qui ne permettait pas de voir à plus de 100m devant, cachant les ornières et autres gouffres parsemant la route. Ils mangèrent tellement de sable que leurs glaires étaient devenue solide,  et leurs cheveux des masses de dreads. Alors qu'il profiter d'une petite visibilité dans un virage, Alex accéléra, et ils virent soudain arriver devant eux non pas un, mais deux camions en face d'eux, l'un essayant de doubler l'autre tant bien que mal, sans visibilité aucune. Le cris de Mélanie se mêla à celui des klaxons, et bientôt à celui des freins de la moto. Mais pas des camions. Ce n'étaient qu'une moto après tout, c'est à dire rien. Alex freina autant qu'il pu, mais il n'y avait pas assez de place pour eux trois sur la route, et au dernier moment donna un coup de guidon qui les fit tomber dans le bas côté, ou le flanc de la montagne les arrêta. Les camions les frolèrent en arrachant au passage le rétro droit, et continuèrent leur course meurtrière. Ils ne dirent rien et pensèrent juste à ce qui aurait pu arrivé si la falaise, et non la montagne, était de leur côté. Malheureusement ils subirent ça presque tous les jours.

Inde 3 - Les bidochons en Inde
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Le temple d'or et quelques portrait de Sikh
Le temple d'or et quelques portrait de Sikh Le temple d'or et quelques portrait de Sikh
Le temple d'or et quelques portrait de Sikh Le temple d'or et quelques portrait de Sikh
Le temple d'or et quelques portrait de Sikh Le temple d'or et quelques portrait de Sikh

Le temple d'or et quelques portrait de Sikh

Ils firent un arrêt à Amristar, au Penjab, la cité la plus mythique pour la religion Sikh, les barbus en turban qui ne pouvait se couper les cheveux de toute leur vie, et devait porter un sabre à leur hanches. Ils visitèrent le temple d'or, un bâtiment religieux ou était garder le livre sacré de leur religion, qui était lu sans interruption depuis son écriture par des religieux qui se relayait. Le temple, resplendissant, était poli, astiqué, nettoyé chaque jours par des miliers de pèlerins volontaire depuis sa création, chaque jours. Ils n'avaient jamais vu quelque chose briller autant. Ils participèrent ensuite au BLABKA, le repas sacré offert à tous les pèlerins au sein du temple. C'étaient à peut près 90 000 repas cuisiné chaque soir, tous les soirs, chaque jours de la semaine, chaque années, depuis des centaines d'années, sans aucune interruption. Un vrais repas, et où les volontaires vous servent à volonté, où chaque personne qui cuisine, nettoie où range le fait de son plein grès, sans aucun dédommagement. Quand ils virent les casseroles, ils ne purent le croire tellement elles était immense, on aurait pu faire tenir plusieurs personnes à l'intérieur. Ils ressortirent de ce temple complètement abasourdi par ce qu'ils venaient de vivre, c'étaient sans aucun doute la chose la plus incroyable qu'ils aient jamais vu.

Sur la route ils s'arrêtèrent au Om bana temple, aussi appelé Bullet temple, le modèle de la royal enfield. Un jours, Om bana, conducteur de moto eu un accident mortel en s'écrasent contre un arbre, et sa moto fut reconduit au poste de police. Mais étrangement elle revint d'elle mêmes sur les lieu de l'accident, deux fois de suite, et quelques jours plus tard quelqu'un jura d'avoir vu l'esprit d'om bana. Depuis, il est considéré comme un dieu, un de plus parmis leur milion de dieu, et un temple à été érigé à son effigie, ou sa moto est rempli de fleurs et d'encens. Alex et Mélanie, pensant trouver un temple presque désert furent surpris de voir une foule d'indiens en pleine dévotions et des chanteuse en transe avec le rythmes des percu.

- Incredible India... fut tout ce qui leur vint à l'esprit.   

A jaisalmer, ils firent la connaissance d'un autre voyageur, depuis plusieurs mois déjà en Inde, et ils en profitèrent pour visiter la ville avec lui.

- Ce que vous devait comprendre, c'est que en Inde, tout est une question de spiritualité, de croyance, de karma. Ils s'en remettent à leur dieu pour tout est n'importe quoi, par exemple si un heureux mariage à lieu, ils remercieront Shiva, dieu créateur, mais si un homme frappe son fils pour une connerie, le fils dira que c'est la faute de Shiva, aussi destructeur. Pratique hein ? Cet homme, la, est l'exemple le plus parfait de la croyance Indou.

- Heu, je pige pas la, en quoi un rasta clodo est l'exemple de quoi que ce soit ? L'homme en questions était assis en tailleur en les regardant avec de grand yeux. Ses cheveux étaient de longue dreads grise, son front était peint en blanc avec un trait rouge au milieu ce qui faisait ressortir ses habit orange, son longhi, et il allait pied nu.

- Cet homme comme tu dit, est un Sadhu, un homme saint, un baba. Il a renoncé à toute ses possessions sur terre, son nom, sa famille, ses amis et à décidé de vivre de l​​a mendicité des autres, en quête de spiritualité, et de parcourir le monde a pied. Ils sont des miliers. Tu vois le sorte de panier en métal à son bras ? Va lui donner quelques roupies.

 Le Sadhu, qui ne les avait pas quitté des yeux pendant tous leur échanges, regarda Alex dans les yeux quand il s'approcha. Quand Alex mis quelques billets dans le récipient, le Sadhu commença à réciter quelques mantra en faisant tourner un bâton d'encens autour de lui. Puis il apposa une touche de couleur rouge au milieu du front de Alex,  et s'inclina bien bas.

- Tu as était benni par un Sadhu, tu as maintenant la chance avec toi dit leur guide. N'efface jamais ce symbole devant un indien, il prendrait comme une insulte.                                                                                         

 

Inde 3 - Les bidochons en Inde
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Les différentes cité du désert, leurs fort, leurs dunes, et leur temples
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Les différentes cité du désert, leurs fort, leurs dunes, et leur temples

Ils étaient presque arrivé à Jodhpur, lorsqu'ils décidèrent de dormir à la belle étoiles, sur une dune. Arrivé en haut, ils ne furent pas seul, une nuée d'indiens étaient déjà la pour voir le coucher du soleil. De toute façons, des indiens y'avait des grandes chances pour en croiser de partout, mais vraiment partout ! Bien sûr, ils remplacèrent le coucher de soleil en termes d'attractions, et très vite une vingtaine d'indiens étaient autour d'eux, à les fixer, les prendre en photos, les toucher mais sans parler. Ils essayèrent bien de leur parler :

- Salut, comment tu t'appel ?

- Moi amin. Toi d'où venir ?

- On est français !

- Ha très bien France.  Toi travail ?

- Ouais on est pisteur, tu connais ?

- Ha très bien ça.  Toi marié ?

- Heu pas vraiment non.

- Ha très bien ça.  

Et la conversation s'arrêter là, malgré leur effort. Depuis un mois, ils n'avaient pu échanger plus que ces quelques phrases avec les trois quarts des indiens, c'étaient à désespérer. Les seuls qui leur parlaient, finissaient invariablement par vouloir leur vendre quelque chose, toujours ! Ils c'étaient résolus à être considérer comme des portefeuille ou portrait-a-selfie sur pattes, et malheureusement n'echangeaient plus beaucoup avec les indiens.

Alors qu'ils attendaient qu'ils partent tous, un indien approcha d'eux,

-Vous voulez pas dormir la j'espère ? C'est dangereux dans le désert, les chiens errants, les scorpions peuvent vous piquer, et les gens venir vous tuer pour votre sac !

- Heu, t'en rajoute pas un peu ? Imagine la scène, pied nu, en caleçon, en train de fuir des indiens qui veulent nous lapider, et obliger de se réfugié à l'ambassade ! Impossible..  Mais t'es le 3eme à nous parler de scorpion, y'en à beaucoup ?

-Ouais ouais plein, dangereux, venez chez moi, c'est super bien, safe !

- On devrait peut être l'écouter dit Mel, pas très rassuré. En plus ils nous héberge, c'est sympa ! C'est ou chez toi ?

- Juste en bas, super bon hôtel, juste 800 roupies la nuit, mais pour vous par ce que vous êtes mes amis, 700 roupies !

Finalement ils décidèrent de dormir sur place, malgré les dangers mortel évoqué par leur &ami& l'hôtelier. Ils s'endormirent donc, pour se faire réveiller quelques heures plus tard par un bruit de fête.  Des indiens avaient décidé de s'arrêter à plusieurs camions quelques centaines de mètres plus loin, et de mettre la musique à fond. Gagner pour la tranquillité au milieu du désert.. Quelques heures plus tard, c'étaient les hurlements de chiens qui les réveillerent, des hurlements qui se rapprochés. Alex prit la branche d'arbres qu'il avait trouvé avant,rempli d'épines de 3cm chacune et alluma sa frontale. Il vit une bonne dizaine de chiens autour d'eux, et leur pupilles se refléter dans la nuit. Que faites vous, en pleine nuit, au milieu du désert, quand vous voyez plusieurs paires d'yeux briller dans le noir, et des grognements vous entourez ? Vous avez peur, très peur. Les chiens aboyèrent, grognèrent, partirent, et revenirent. Soudain Alex couru vers un chien en hurlant, et lui donna, ou essaya de lui donner un coup de branche, que le chien évita sans difficulté, mais qui eu l'effet de faire fuir les chiens. Ils purent donc se rendormir, non sans difficulté.  

À l'aube, Alex ouvrit les yeux, et hurla. A deux mètres d'eux, se tenait un indien accroupie, qui les fixer sans rien dire.

-Mais putain tu fout quoi là ? Sa fait combien de temps que t'es la bordel ?

- Yes sire, très bien sire repondit l'indien avec leur éternel balancement de tête et leur sourire

- Haa mais dégage, vite, dégage, barre toi putain !

Et l'indien, sans s'émouvoir plus que ça, fit deux mètres, pissa un coup, et partit.

Dans la journée ils arrivèrent à Jodhpur, leur dernière ville. Ils slalomèrent entre des vaches,- des singes et des chèvres, doublèrent des tuktuk où leur conducteur dormaient dedans, seul maison qu'ils avaient, prirent l'autoroute à contresens par ce que c'était plus rapide, arrivèrent dans une rue piétonne et sans ralentir klaxonnèrent autant qu'ils purent, prirent des virages impossible et sengagèrent dans des impasses qui finalement s'ouvrirent, se jetèrent à corps perdu dans la circulation infernal, klaxonnant,  hurlant, accélérant d'un coup pour passer entre deux camions et freinant d'un coup quand ils aperçurent une vache affalé au milieu de la route. Aucun problème, ils repartirent de plus belle pour aller sur le &trottoir&, et n'urent aucun regard pour les enfants pied nu dans les t'as d'ordure en train de chercher de quoi manger. Arrivé à leur hôtel, cinque femmes indiennes étaient assis sur les marches,  épluchant des légumes, jettant les épluchures dans la rue où une vache les mangeaient, avant des les éjecter en belle bouse bien fraîche. Elles avaient toute la peau presque noire, le visage buriné de rides et seulement quelques dents. Les anneaux d'or brillaient à leur narines et leurs doigts de pied, et leur sari, étoffe de plusieurs mètres de longueurs de couleur flashi laissaient voir les épaules et leur ventre.  Des femmes typique en Inde. Elles s'arrêtèrent de travailler en les regardant fixement, jusqu'au moment où Alex leur fit un balancement de tête et un sourire sans rien dire. Elles sourirent de toute leur dents manquante,  et dirent à l'unisson :

- Welcome to India, welcome in Jodhpur !  

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L
Que dire ?<br /> Welcome in India ? Tu le dis si bien: fuir ? ou y rester ?<br /> Cela doit être fascinant de traverser un pays aussi plein de contrastes . L'Inde est certainement le pays au monde qui partage le plus les opinions, ce n'est pas un hasard.<br /> Je ris toujours autant de te lire autant que tout cela m'effraie. Quelle lucidité pour autant dans tes écritures. Quelle légèreté quand tu décris le voyageur "européen, ou occidental": une vraie caricature de ce que j'ai vécu dans une moindre mesure il y a quelques mois: chacun penché sur son smartphone, sans regarder ce qui se passe autour de lui. Je pense vraiment que le trop de communications casse vraiment LA communication. Je suis heureuse que tu saches en faire la différence.<br /> Je te souhaite bonne route et prends soin de toi, mon fils. Sois heureux et continue de nous faire part de toutes tes péripéties.<br /> Mam
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