2016 - Silk road; Pourquoi la route de la soie

Publié le par Alix l'Palmier

2016 - Silk road; Pourquoi la route de la soie

Pourquoi la route de la soie ? Pourquoi partir la ou il y a le désert, la chaleur, ou les gens ne parlent pas anglais ? Ou celon le ministère c'est dangereux, il ne faut pas partir.

Sortir de sa zone de confort. Voilà pourquoi.

Voyager d'hôtel en hôtel, de gesthouse en gesthouse, accompagné de toute une tripoté de backpackers, en bouts d'un moment c'est usant.

Découvrir l'inconnu, répondre à son questionnement. On à toujours entendu dire "l'Iran ? Fait gaffe c'est dangereux comme pays". Ha bon ? Alors je vais aller voir. Longé la frontière Afghane pendant des kilomètres, voir des mes propres yeux ce qu'on nous déconseille d'aller voir. S'ouvrir aux autres d'une façon différentes. En vélo, lents et rapide à la fois, apprendre à apprécier le temps qui passe et les rencontres fait au bord du chemin.

J'avais envie d'un voyage vraie, authentique. Emmener mes pas ou ceux que je croiserais ne seront pas rongé par l'envie d'argent, et ne nous considère pas comme des simple touriste à portefeuille. Ou croisant d'autres voyageurs, il y a de la valeurs pour la terre que nous visitons et les personnes qui nous accueil.

Je suis parti le sac léger, 6,2kg, pour me prouver à moi même et au autres qu'on a pas besoin de plus. Nous avons besoin d'eau pour vivre, de nourriture, et des autres. Du rire et du bonheur. Évidement pour nous, européens c'est facile. Ils nous suffit de travailler 4 mois pour partir 8 mois. Quand on voyage, on se rend compte de la chance qu'on a, de pouvoir faire tout ce qu'on fait. Alors autant en profiter à fond, en essayant de rendre le monde meilleurs, que de rester chez sois, à compter ses sous.

Le voyage apprend à connaître les autres, et à se connaître sois même. Partir à l'aventure, où la gentillesse des locaux remplace un hostel, ou une journée sans manger n'est rien comparé aux paysage qu'on traverse, ou la douche est superflue quand on vit pendant plusieurs jours seul dans de si grand espace.

Effectivement ça ne sera pas le voyage le plus aisé qu'on puisse faire, allé de galère en galère, des désert, des cols a 4000 en vélo. Mais le partage, les rencontres et les contrées traversé valent tous ces petits détails :)

Pacha mama

Les différents articles sur ce voyage sont disponible ici

 

 

Publié dans Route de la soie

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